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Dossier Nice Simon: Enfin Jean Yves Léonard…

Après sa conférence de presse ratée à l’hôtel le plaza, jeudi dernier, Jean Yves Léonard avait donné rendez vous, à Kingdom hôtel, sa propriété, en vue de faire le point sur le dossier qui l’oppose à sa concubine, Nice Simon, Mairesse de la commune de Tabarre. Et cette fois, c’est la bonne et le concubin de Nice n’y va pas de main morte.

Dans une salle remplie de partisans, pancarte en main, scandant de propos défavorables à Nice, avec humour, le concerné donne sa version des faits. « Nice et moi sommes rencontrés, c’était en 2012. Mon amour a pris chair pour elle après avoir regardé la séquence du film I love you Anne, où l’actrice s’était montrée très sympathique envers son père, quand ce dernier se faisait jeter sur son vélo à la recherche d’elle», a d’entrée expliqué Mr Léonard, avant de continuer d’emblée dans les faits.

« C’était dans la nuit du premier octobre 2018, ma femme, Nice Simon, après son bain, s’est préparée pour aller au lit. Il dix heures du soir. Son téléphone sonna. Elle s’est déplacée de la chambre pour décrocher l’appel. Et soudain, elle s’est revêti et prend la clé de sa voiture pour sortir. C’est à ce moment que j’ai fait le forcing pour prendre le téléphone. Elle refusa. Faisant le forcing, elle m’a mordu et moi j’en faisais autant. A aucun moment je n’ai lui proféré de coups. C’est faux », a tenté de justifier Yves Léonard, sous les tonnerres d’applaudissements de ses partisans qui ont une fois de plus répondu à l’appel.

« Yves Léonard n’est pas un criminel et n’a pas été supporté par le pouvoir en place. Face à cette campagne de dénigrement qui s’abattait sur moi, je ne pouvais que me mettre en cavale », a poursuivit l’accusé, qui, pour s’expliquer a fait exhibition de nombreuses photos. Il reproche aux organisations de femmes, au ministère à la condition féminine et la Fédération nationale des maires d’avoir pollué dans d’avantage cette altercation qu’il avait eue avec sa femme.

En terminant son intervention, Jean Yves Léonard invite ses partisans à ne profaner le nom de la mairesse. Car soutient-il : « Si quelqu’un aime Léonard, il doit aussi aimer Nice, ma femme ».

En somme, les deux versions des faits sont désormais là. A la justice de trancher et à l’opinion de tirer sa conclusion. Voilà qui est dit.

Jean Corvington