Depuis plusieurs jours, le niveau de l’insécurité dans le pays atteint une dimension incroyable. Les groupes armés défient la police et la population ne cesse de conter les cadavres. Une situation qui interpelle plus d’un.
C’est dans l’idée de denoncer cette montée exponentielle de l’insécurité dans le pays que le président du parti UNIR, Clarens Renois avait lancé une journée de grêve. L’objectif ?dire aux autorités que la population ne peut plus continuer à vivre dans cette situation.
Si la grêve en réalité n’a pas été respectée, certains politiciens auraient vu dans cette demarche, un moyen pour le numéro de l’UNIR de faire un capital politique, selon ce qu’il a expliqué ce matin.
L’ancien correspondant de la Voix de l’Amérique confie avoir reçu des menaces de la part de certains politiciens, sans pour autant citer de non.
Dénonçant cette attitude, Mr Rénois croit que le seul moyen de lutter contre ce phénomène, c’est de pousser les autorités à assumer leurs responsabilités.
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